Par Norman Fenton

La volonté de réduire au silence et d’invisibiliser ceux qui alertent sur le « narratif officiel du Corona » (en particulier ceux remettant en question l’efficacité et la sécurité des vaccins) a recours à de nouvelles méthodes, plus inventives, pour nous attaquer. Non contents de simplement s’assurer de la non-publication des articles de recherche dissidents sur les données du Corona, on essaie maintenant de délégitimer les articles publiés sans rapport avec ce thème, pour autant que des dissidents en soient leurs auteurs.

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L’attaque rétrospective contre Paul Marik et son article de 2017 sur la vitamine C et la septicémie en est un remarquable, et inquiétant exemple. Une attaque clairement choisie pour délégitimer Marik simplement parce que ce dernier s’est posé en ardent défenseur des protocoles de traitement précoce du Corona. Cette tentative semble n’avoir, heureusement, finalement pas porté ses fruits. Mais cela n’arrêtera pas les censeurs, déterminés à réduire au silence tous les dissidents.

Au cours des derniers mois, j’ai reçu plusieurs e-mails de revues dans lesquelles j’avais publié des articles sans rapport avec le thème du Corona. Celles-ci me demandaient de répondre à des plaintes stipulant que j’avais omis de déclarer des conflits d’intérêts. Invariablement, ces plaintes ont déclaré que je n’avais pas informé les lecteurs de ma qualité de membre du groupe HART ou de PANDATA.

La plainte suivante par exemple, concerne un article dont je suis le co-auteur. Elle n’est qu’un des nombreux rapports comparables parvenus à des revues, et auxquels on m’a demandé de répondre. 

Au lieu d’ignorer ces absurdités, les revues exigent une réponse formelle, une attitude d’autant plus frustrante que ces réponses représentent une perte de temps harassante. Et c’est la raison pour laquelle ces plaignants le font : pour vous épuiser.

L’article (je le recommande vivement bien sûr !) a été publié en août 2022. Il n’a rien à voir avec le Corona ou toute autre activité liée à HART ou PANDATA. De plus, bien que j’aie pris la parole lors de meetings organisés par PANDA (dont j’admire le travail), je n’en suis pas « membre ». Le lien fourni vers HART renvoie ainsi bien à la liste des membres dont je fais partie, mais le lien vers PANDATA dans la plainte ne renvoie pas à une liste de ses membres mais plutôt à un article outrancièrement à charge contre PANDATA.

Alors, que dire ?

Si un dissident se doit maintenant de déclarer ses affiliations à tout groupe auquel il appartient ou dont il partage les objectifs, cela signifie-t-il que je doive déclarer à chacun de mes articles que j’ai un abonnement à Tottenham pour suivre les Spurs ? Ou que dans ma jeunesse, j’ai assisté à des réunions de socialistes internationaux ? Et quid de mon abonnement Amazon prime ? Ou du fait que je possède l’intégrale de X-Files ? Vu Les Misérables 53 fois au cinéma ?

Les revues scientifiques attachent-elles encore de l’importance à la qualité et à la rigueur ?

Bien que j’aie publié plus de 300 articles évalués par des pairs, aucun parmi les dizaines que j’ai écrits sur les données relatives au Corona après l’été 2020 n’a même atteint le stade d’un examen sérieux une fois soumis à une revue. Les raisons sont aussi bidon que celle-ci :

Où sont les chiffres ? par Norman Fenton et Martin Neil

The Lancet censure complètement sa réponse à notre demande d’accès aux données relatives à  la correspondance interne (concernant le rejet de notre courrier sur l’étude Pfizer). L’histoire précédemment rapportée ici a eu d’incroyables développements : à la suite de cet échec, j’ai soumis une demande d’accès aux données personnelles à Elsevier (éditeur du Lancet) en demandant toute la correspondance interne entre les éditeurs et les personnes examinant la soumission (et le rejet ultime) de notre lettre…

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il y a un mois · 255 likes · 58 commentaires · Norman Fenton

Comme nous l’avons déjà signalé, même les serveurs de pré-publications refusent, de plus, d’héberger nos articles sur l’analyse du Corona  :

Où sont les chiffres ? par Norman Fenton et Martin Neil

Les sites de pré-publication de documents scientifiques censurent les soumissions d’articles.

L’objectif des sites de pré-publication de documents de recherche comme medRxiv et arXiv est de permettre aux chercheurs de diffuser leur travail avant tout processus d’examen formel. Il était d’usage que, si que le contenu passait les contrôles automatisés de plagiat et de langage offensant, il serait publié dans les deux jours… 

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il y a 4 mois · 54 likes · 16 commentaires · Norman Fenton et Martin Neil

Comme dans le cas de notre travail soumis au Lancet, personne ne remet jamais en question l’exactitude de notre travail.  Il leur suffit de savoir « qui » en est l’auteur pour décider de son bannissement. Etant donné que des personnes comme la porte-parole pour la vaccination des femmes enceintes (adoubée par le gouvernement) me qualifient publiquement de « marchand de fake news fanatisé », cela semble être une « preuve » suffisante pour rejeter notre travail.

Viki Male

@VikiLovesFACS

Je n’ai aucun conflit d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Pour ce qui est de ma prise de position contre des marchands de fake news fanatisés (Carter, Malhotra), le Conseil médical général ne les radie pas ou leurs universités (Fenton) ne les censure pas. Les gens ne perdent donc pas leur emploi. Je vous livre mon point de vue, sincère, basé sur des preuves.

Pourquoi les articles dissidents sur le Corona sont-ils supprimés après publication ?

Dans les rares cas où des articles remettant sérieusement en question le récit officiel du Corona ont été acceptés ou publiés dans une revue à comité de lecture, des attaques orchestrées commencent aussitôt. En voici quelques exemples bien connus :

  • Le premier article publié mettant en évidence les risques de myocardite après vaccination, par Jessica Rose et Peter McCullough, a été mis en ligne en octobre 2021. Il a pourtant été retiré presque immédiatement (et de manière permanente) par les éditeurs, sans aucune explication aux auteurs.
  • L’article de Hui Jiang et Ya-Fang Mei a prouvé que la protéine Spike du SARS-CoV-2 stoppe la reconstruction de l’ADN (c’est-à-dire qu’elle induit un risque de cancer) dans les lymphocytes. Ce n’est qu’après que Jiang ait admis que le vaccin présentait un risque réel de changements pouvant conduire au cancer dans l’ADN (la protéine Spike du vaccin étant la même que celle du virus) que les demandes de retrait de l’article ont commencé – comme on l’explique ici, en détaillant cette politique scandaleuse de retrait.
  • L’article de Mark Skidmore qui a estimé que plus de 200 000 personnes ont été tuées par les vaccins a maintenant été retiré par la revue. Les « préoccupations » motivant le retrait étaient soit faciles à rejeter, soit fausses, notamment celle affirmant que l’enquête au cœur de l’article n’avait pas de base éthique suffisante, la personne l’ayant financée (Catherine Austin-Fitts) n’étant pas mentionnée. Steve Kirsch a fait savoir qu’il allait engager un recours juridique contre ce retrait.

Le temps de rendre ces personnes responsables est venue ; que les poursuites judiciaires commencent.

Conclusion

Pour beaucoup, l’ère du Covid a détruit la confiance dans de nombreuses institutions, voire dans toutes. Le gouvernement, l’industrie pharmaceutique, les géants des réseaux sociaux et les médias main stream en général. En des temps plus sains, nous aurions au moins pu nous attendre à ce que le monde universitaire se dresse au-dessus des mensonges et de la corruption, et en particulier de la censure. C’est pourtant lui qui a été à l’avant-garde de la censure des voix dissidentes. 

 En censurant la recherche en fonction de l’identité de son auteur ou des personnes qui y étaient associées plutôt qu’en fonction de sa qualité intrinsèque et de son exactitude, tout respect pour la notion d’« évaluation par les pairs » a été détruit. A jamais peut-être.

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